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Monsieur Guillaume est le propriétaire de la Maison du chat-qui-pelote, vénérable commerce de drap de la rue Saint-Denis. Ses deux filles, Augustine et Virginie, sont en âge de se marier. Le jeune peintre Théodore de Sommervieux s’éprend de la beauté d’Augustine, lui consacre un portrait exposé au salon et cherche à l’épouser.
La Maison du chat-qui-pelote, scène inaugurale de La Comédie humaine à partir de l’édition Furne de 1842, est parue initialement dans les Scènes de la vie privée (Mame-Delaunay, 1830), sous le titre Gloire et Malheur.

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Éditions contrôlées par Balzac

Mame I 

Gloire et Malheur, dans Scènes de la vie privée, Paris, Mame et Delaunay-Vallée, 1830, t. II, p. 1-123. (Lire)

Mame II
Gloire et Malheur, dans Scènes de la vie privée, 2e éd. augm., Paris, Mame et Delaunay-Vallée, 1832, t. II, p. 1-123.  (Identique à la précédente)

Béchet
Gloire et Malheur, dans Études de mœurs au xixe siècle, Paris, Vve Béchet, 1835, t. I, p. 153-266. (Lire)

Charpentier
Gloire et Malheur, dans Scènes de la vie privée, nouv. éd. rev. et corr., Paris, Charpentier, 1839, t. I, p. 93-180. (Identique à la précédente)

Furne
La Maison du chat-qui-pelote, dans La Comédie humaine, Paris, Furne, 1842, t. I : Études de mœurs, Scènes de la vie privée, p. 33-84. (Lire)

Furne corrigé
La Maison du chat-qui-pelote, dans La Comédie humaine, Études de mœurs, Scènes de la vie privée. (Lire)

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Bibliographie sélective

  • Max Andreoli, « Une nouvelle de Balzac : La Maison du chat-qui-pelote. Ébauche d’une lecture totale », L’Année balzacienne, 1972, p. 43-80.
  • Olivier Bonard, La Peinture dans la création balzacienne. Invention et vision picturale de La Maison du chat-qui-pelote au Père Goriot, Genève, Droz, 1969.
  • Véronique Bui, « Scénographie de la mort dans les Scènes de la vie privée », L’Année balzacienne, 2001, p. 331-346.
  • Andrea Del Lungo, « L’intérieur balzacien : du chaos social au désordre individualisé », Romantisme, 168, 2015/2, p. 39-50.
  • Danielle Dupuis, « Spécificité et rôle du décor dans les Scènes de la vie privée », L’Année balzacienne, 1994, p. 51-72.
  • Danielle Dupuis, « Odeurs balzaciennes », L’Année balzacienne, 2009, p. 37-59.
  • Juliette Frølich, « Code du Cœur – code des larmes », L’Année balzacienne, 2001, p. 57-67.
  • Delphine Gleizes, « Copier, c’est vivre. Des valeurs de l’œuvre d’art dans le roman balzacien », L’Année balzacienne, 2004, p. 151-167.
  • Adrien Goetz, « Beurre-moi cela ou la matière picturale chez Balzac », L’Année balzacienne, 2009, p. 61-70.
  • Adrien Goetz, « Une toile de Rembrandt, marchant silencieusement et sans cadre. L’esthétique du portrait peint dans La Comédie humaine », L’Année balzacienne, 2001, p. 99-112.
  • Patricia Gouritin, « Portée sémiologique de l’enseigne et de son tableau dans La Maison du chat-qui-pelote », Textimage, 4, 2011. [En ligne : http://revue-textimage.com/06_image_recit/gouritin1.html]
  • Owen Heathcote, « Images fantômes. Mémoire, mort et sublime chez Balzac », L’Année balzacienne, 2004, p. 183-201.
  • Alex Lascar, « La première ébauche de La Maison du chat-qui-pelote », L’Année balzacienne, 1988, p. 89-105
  • Alex Lascar, « Le début de La Maison du chat-qui-pelote : de la seconde ébauche à l’édition Furne », L’Année balzacienne, 1989, p. 43-59.
  • Alex Lascar, « Les réalités du mariage dans l’œuvre balzacienne. Le romancier et ses contemporains », L’Année balzacienne, 2008, p. 165-216.
  • Pierre Loubier, « Balzac et le flâneur », L’Année balzacienne, 2001, p. 141-166.
  • Anne-Marie Meininger, « Théodore. Quelques scènes de la vie privée. Documents inédits », L’Année balzacienne, 1964, p. 67-81.
  • Arlette Michel, « À propos des Scènes de la vie privée : images balzaciennes de la jeunesse », L’Année balzacienne, 1994, p. 103-120.
  • Charles Michel, « De la cohérence chez Balzac. L’exemple de La Maison du chat-qui-pelote », Poétique, 167, 2011/3, p. 351-382.
  • Bénédicte Milcent, « Liberté intérieure et destinée féminine dans La Comédie humaine », L’Année balzacienne, 2001, p. 247-266.
  • Blanche Schmitt-Lochmann, « Sensation, sensibilité, émotion : névroses romantiques ou héritage du xviiie siècle ? », L’Année balzacienne, 2009, p. 141-156.
  • Franc Schuerewegen, « La Toile déchirée : texte, tableau et récit dans trois nouvelles de Balzac », Poétique, 65, 1986, p. 19-27.
  • André Vanoncini, « L’écriture de l’artiste dans La Maison du chat-qui-pelote », Romantisme, 54, 1986, p. 58-66.
  • André Vanoncini, « Débris et déchets dans quelques romans de Balzac », L’Année balzacienne, 2009, p. 181-195.
  • Willi Young, « L’effet des tableaux. La lecture picturale de La Maison du chat-qui-pelote », L’Année balzacienne, 2004, p. 211-228.

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Crédits

Furne corrigé

  • Éditeur : Maxime Perret
  • Correction OCR : Dimitri Julien
  • Établissement du texte et stylage TEI : Maxime Perret
  • Édition XML-TEI : Amélie Canu
  • Informatique éditoriale : Frédéric Glorieux
  • Traitement des images : Claire Carpentier

Furne

  • Éditeur : Maxime Perret
  • Correction OCR : Dimitri Julien
  • Établissement du texte et stylage TEI : Maxime Perret
  • Édition XML-TEI : Amélie Canu
  • Informatique éditoriale : Frédéric Glorieux
  • Images : Gallica – Bibliothèque nationale de France

Béchet

  • Éditeur : Maxime Perret
  • Informatique éditoriale : Frédéric Glorieux
  • Images : Gallica – Bibliothèque nationale de France

Mame I

  • Éditeur : Maxime Perret
  • Informatique éditoriale : Frédéric Glorieux
  • Images : Gallica – Bibliothèque nationale de France