Monsieur Rabourdin est chef de bureau dans un important ministère. Il conçoit de son propre chef un vaste plan pour réformer l’administration et faire faire des économies à l’État. Pourtant, il peine à obtenir de l’avancement. Sa femme, Célestine Rabourdin, prétend passer pour une femme supérieure. Elle tient salon et veut manipuler des Lupeaulx pour assurer à son mari une place de directeur de division. Elle ne songe pas, cependant, qu’elle devra surtout vaincre la sourde opposition du clan de Dutocq, Saillard et Godard.
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La Presse
La Femme supérieure, paru en feuilleton dans La Presse, du 1er au 14 juillet 1837.
Werdet
La Femme supérieure, [suivi de La Maison Nucingen et La Torpille], Paris, Werdet, 1838, 2 vol. in-8º.
Werdet II
La Femme supérieure, [suivi de La Maison Nucingen et La Torpille], Paris, Werdet, 1838, 3 vol. in-18.
Furne
Les Employés ou La Femme supérieure, dans La Comédie humaine, Paris, Furne, 1844, t. XI, Études de mœurs, Scènes de la vie parisienne, p. 133-335. (Lire)
Furne corrigé
Les Employés, dans La Comédie humaine, Études de mœurs, Scènes de la vie parisienne. (Lire)
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