Tarragone, 1811. La Marana, prostituée italienne, veut soustraire sa fille Juana à la malédiction qui frappe sa famille, dans laquelle les femmes sont prostituées de mère en fille. Pour faire de Juana une femme vertueuse, elle la confie au drapier Pérez de Lagounia. Mais lorsque les troupes françaises du maréchal Suchet s’emparent de Tarragone, le capitaine Montefiore s’installe dans la maison où était cachée Juana. Il parvient à séduire la jeune fille et à éviter le mariage que voulait lui imposer la Marana en confiant Juana à son ami le capitaine Diard qui l’épouse et l’emmène à Paris.
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Revue de Paris
Les Marana, paru dans la Revue de Paris, 23 décembre 1832 et 13 janvier 1833.
Béchet
Les Marana, dans Études de mœurs au xixe siècle, Paris, Béchet, 1834, t. X, Scènes de la vie parisienne, p. 3-122.
Furne
Les Marana, dans La Comédie humaine, Paris, Furne, 1846, t. XV, Études philosophiques, p. 220-274. (Lire)
Furne corrigé
Les Marana, dans La Comédie humaine, Études philosophiques. (Identique à la précédente)
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