Durant la guerre d’Espagne, la ville de Menda se soulève et massacre le bataillon placé sous le commandement de Victor Marchand. La répression sera sanglante. Le commandant, qui a eu la vie sauve grâce à la fille du marquis de Léganès, obtient la grâce pour l’un des fils Léganès s’il accepte d’être le bourreau (el Verdugo, en espagnol) de sa famille.
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La Mode
El Verdugo, paru dans La Mode, le 28 janvier 1830.
Gosselin I
El Verdugo, dans Romans et contes philosophiques, Paris, Gosselin, septembre 1831, t. II, p. 389-418.
Gosselin II
El Verdugo, dans Contes philosophiques, Paris, Gosselin, juin 1832, t. I, p. 197-228.
Gosselin III
El Verdugo, dans Romans et contes philosophiques, Paris, Gosselin, février 1833, t. III, p. 197-228.
Werdet
El Verdugo, dans Études philosophiques, Paris, Werdet, 1835, t. V, p. 53-87.
Furne
El Verdugo, dans La Comédie humaine, Paris, Furne, 1846, t. XV, Études philosophiques, p. 330-339. (Lire)
Furne corrigé
El Verdugo, dans La Comédie humaine, Études philosophiques. (Identique à la précédente)
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