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Lucien de Rubempré, jeune poète ambitieux d’Angoulême, croit qu’il peut s’enfuir à Paris avec sa protectrice, madame de Bargeton. Bientôt abandonné par la cousine de madame d’Espard, qui se trouve gênée par ses allures de provincial, puis confronté aux difficultés de la vie d’écrivain que n’adoucissent pas ses amitiés du Cénacle, il décide de se lancer dans le journalisme en espérant obtenir les moyens de se faire reconnaître comme écrivain. Introduit par Lousteau dans une rédaction, Lucien découvre les joies de posséder un nouveau pouvoir qui lui permet de se venger de ses ennemis, d’obtenir de l’argent facilement et de côtoyer le monde des artistes et des danseuses. Mais son talent excite des jalousies.

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Éditions contrôlées par Balzac

Première partie – Les deux poètes

Werdet
Illusions perdues, dans Études de mœurs au xixe siècle, Paris, Werdet, 1837, t. VIII, Scènes de la vie de province, p. 1-357.

Charpentier
Illusions perdues
, dans Scènes de la vie de province, Paris, Charpentier, 1839, t. I, p. 173-427.

Furne
Illusions perdues, dans La Comédie humaine, Paris, Furne, 1843, t. VIII, Études de mœurs, Scènes de la vie de province, p. 1-119.

Furne corrigé
Illusions perdues, dans La Comédie humaine, Études de mœurs, Scènes de la vie de province.

Deuxième partie – Un grand homme de province à Paris

Souverain
Un grand homme de province à Paris. Scène de la vie de province, Paris, Souverain, 1839, 2 vol. in-8º.

Furne
Illusions perdues, dans La Comédie humaine, Paris, Furne, 1843, t. VIII, Études de mœurs, Scènes de la vie de province, p. 119-393.

Furne corrigé
Illusions perdues, dans La Comédie humaine, Études de mœurs, Scènes de la vie de province.

Troisième partie – Les souffrances de l’inventeur

L’État
David Séchard ou les Souffrances d’un inventeur, feuilleton paru dans L’État, du 9 au 19 juin 1843 (interruption le 15 juin) ; puis dans Le Parisien-L’État du 27 juillet au 14 août.

Dumont
David Séchard, Paris, Dumont, 1844, 2 vol. in-8º.

Furne
Illusions perdues, dans La Comédie humaine, Paris, Furne, 1843, t. VIII, Études de mœurs, Scènes de la vie de province, p. 393-570. (Lire)

Furne corrigé
Illusions perdues, dans La Comédie humaine, Études de mœurs, Scènes de la vie de province. (Lire)

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