À la fin d’un dîner parisien donné par le banquier Jean-Frédéric Taillefer, sa fille Victorine demande à l’un de leurs hôtes de leur raconter une histoire à faire peur : Hermann, négociant allemand, leur raconte l’histoire d’un crime commis dans l’Auberge rouge, sur les bords du Rhin.
***
Revue de Paris
L’Auberge rouge, paru dans la Revue de Paris, les 10 et 27 août 1831.
Gosselin
L’Auberge rouge, dans Nouveaux Contes philosophiques, Paris, Gosselin, octobre 1832, p. 179-269.
Delloye et Lecou
L’Auberge rouge, dans Études philosophiques, Paris, Delloye et Lecou, juillet 1837, t. XVII, p. 1-144.
Furne
L’Auberge rouge, dans La Comédie humaine, Paris, Furne, 1846, t. XV, Études philosophiques, p. 359-390. (Lire)
Furne corrigé
L’Auberge rouge, dans La Comédie humaine, Études philosophiques. (Lire)
***