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Le Curé de Tours

L’abbé Birotteau devient, à la mort de l’abbé Chapeloud, le curé de Tours et le locataire de Mlle Gamard. Il va bientôt se heurter au caractère acariâtre de la vieille fille et au machiavélisme de son rival Troubert.

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Éditions contrôlées par Balzac

Mame
Les Célibataires, dans Scènes de la vie privée, 2e éd. augm., Paris, Mame et Delaunay-Vallée, t. III, p. 279-413.

Béchet
Les Célibataires, dans Études de mœurs au xixe siècle, Paris, Vve Béchet, 1834 [1833], t. VI, Scènes de la vie de province, p. 33-164.

Charpentier
Les Célibataires, dans Scènes de la vie de province, Paris, Charpentier, 1839, t. I, p. 1-105.

Furne
Le Curé de Tours, dans La Comédie humaine, Paris, Furne, 1843, t. VI, Études de mœurs, Scènes de la vie de province, Les Célibataires, p. 1-62. (Lire)

Furne corrigé
Le Curé de Tours, dans La Comédie humaine, Études de mœurs, Scènes de la vie de province, Les Célibataires. (Lire)

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Bibliographie sélective

  • Léon-François Hoffmann, « Éros en filigrane : Le Curé de Tours », L’Année balzacienne, 1967, p. 89-105.
  • Suzanne Jean Bérard, « Encore la maison du Curé de Tours. Un exemple de la méthode balzacienne », L’Année balzacienne, 1968, p. 197-210.
  • Renée Lemahieu, « Réalité et fiction dans Le Curé de Tours », dans Le Réel et le texte, Paris, A. Colin, 1974, p. 175-182.
  • Nicole Mozet, « Le personnage de Troubert et la genèse du Curé de Tours », L’Année balzacienne, 1970, p. 149-154.
  • Jean Serroy, « Au commencement… Sur l’incipit du Curé de Tours », Recherches et Travaux, 38, 1990, p. 65-71.

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Crédits

Furne corrigé

  • Éditeurs : Tania Duclos et Maxime Perret
  • Établissement du texte : Tania Duclos
  • Établissement du texte et stylage TEI : Maxime Perret
  • Édition XML-TEI : Amélie Canu
  • Informatique éditoriale : Frédéric Glorieux
  • Traitement des images : Claire Carpentier

Furne

  • Éditeur : Maxime Perret
  • Établissement du texte : Maxime Perret
  • Édition XML-TEI : Karolina Suchecka
  • Informatique éditoriale : Frédéric Glorieux, Karolina Suchecka
  • Images : Gallica – Bibliothèque nationale de France