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Monsieur de Granville a le malheur d’avoir épousé une femme sans aucun goût et terriblement bigote. Un jour, alors qu’il marche dans le Marais pour se rendre au tribunal, il aperçoit par la fenêtre d’un immeuble de la rue du Tourniquet-Saint-Jean une pauvre femme et sa fille occupées à coudre. Le juge est séduit par la jolie Caroline Crochard et fonde bientôt avec elle une double famille.

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Éditions contrôlées par Balzac

Mame I
La Femme vertueuse, dans Scènes de la vie privée, Paris, Mame et Delaunay, 1830, t. II, p. 127-287.

Mame II
La Femme vertueuse, dans Scènes de la vie privée, 2e éd. augm., Paris, Mame et Delaunay, 1832, t. II, p. 127-287.

Béchet
La Femme vertueuse, dans Études de mœurs au xixe siècle, Paris, Vve Béchet, 1835, t. IX, Scènes de la vie parisienne, p. 14-158.

Charpentier
La Femme vertueuse, dans Scènes de la vie parisienne, nouv. éd. rev. et corr., Paris, Charpentier, 1839, t. II, p. 1-107.

Furne
Une double famille, dans La Comédie humaine, Paris, Furne, 1842, t. I : Études de mœurs, Scènes de la vie privée, p. 251-315. (Lire)

Furne corrigé
Une double famille, dans La Comédie humaine, Études de mœurs, Scènes de la vie privée. (Lire)

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