Les deux filles du comte de Grandville, Marie-Angélique et
Marie-Virginie, élevées par leur mère dévote et pudibonde, ne sont pas
heureuses dans leurs mariages. Marie-Virginie est prisonnière de
Ferdinand du Tillet et ne peut disposer ni de son temps ni de son argent
comme elle le souhaite. Marie-Angélique, en apparence heureuse avec
Félix de Vandenesse, s’ennuie profondément, au point de se laisser
séduire par le médiocre Raoul Nathan sous les regards curieux du faubourg Saint-Germain.
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Siècle
Une fille d’Ève, publication en treize feuilletons dans Le Siècle, du 31 décembre 1838 au 14 janvier 1839 (interruption les 2 et 7 janvier 1839).
Souverain
Une fille d’Ève, scène de la vie privée par H. de Balzac, Paris, Souverain, 1839, 2 vol.
Furne
Une fille d’Ève, dans La Comédie humaine, Paris, Furne, 1842, t. II, Études de mœurs, Scènes de la vie privée, p. 195-299. (Lire)
Furne corrigé
Une fille d’Ève, dans La Comédie humaine, Études de mœurs, Scènes de la vie privée. (Lire)
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