Antoinette de Langeais, séparée corps et de cœur avec son mari, règne sur Paris et domine le faubourg Saint-Germain de tout son orgueil. Elle jette son dévolu sur le marquis de Montriveau, général d’Empire toujours en faveur sous la Restauration grâce à l’occulte pouvoir des Treize. La Duchesse de Langeais est l’histoire de leur amour.
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Écho de la Jeune France
Ne touchez pas la hache, parution dans L’Écho de la Jeune France de deux chapitre : « La sœur Thérèse » (avril 1833) et « L’amour dans la paroisse de Saint-Thomas-d’Aquin » (mai 1833).
Béchet
Ne touchez pas la hache, dans Études de mœurs au xixe siècle, Paris, Vve Béchet, 1834, t. XI, Scènes de la vie parisienne, p. 3-289.
Charpentier
La Duchesse de Langeais, [précédé de Ferragus], dans Histoire des Treize, Paris, Charpentier, 1839, p. ###.
Furne
La Duchesse de Langeais, dans La Comédie humaine, Paris, Furne, 1843, t. IX, Études de mœurs, Scènes de la vie parisienne, Histoire des Treize, p. 111-235. (Lire)
Furne corrigé
La Duchesse de Langeais, dans La Comédie humaine, Études de mœurs, Scènes de la vie parisienne, Histoire des Treize. (Lire)
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