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Paris, 1612. En allant rendre visite au peintre Porbus à son atelier, le jeune Nicolas Poussin fait la connaissance de maître Frenhofer, personnage étrange capable d’améliorer en quelques coups de pinceau Marie l’Égyptienne, le tableau que Porbus venait de terminer. Malgré sa maîtrise technique, il travaille depuis dix ans à La Belle Noiseuse, portrait de Catherine Lescault : il n’a pas encore rencontré le modèle qui lui aurait permis d’achever le chef-d’œuvre qu’il soustrait à tous les regards. Curieux de voir le tableau terminé, Poussin propose à Frenhofer de faire poser pour lui Gilette, la femme qu’il aime.

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Éditions contrôlées par Balzac

L’Artiste
Le Chef-d’œuvre inconnu, paru dans L’Artiste en deux livraisons : « Maître Frenhofer » le 31 juillet 1831 ; « Catherine Lescaut » le 7 août 1831.

Gosselin I
Le Chef-d’œuvre inconnu, dans Romans et contes philosophiques, 2e éd., Paris, Gosselin, septembre 1831, t. III, p. 221-264.

Gosselin II
Le Chef-d’œuvre inconnu, dans Contes philosophiques, Paris, Gosselin, juin 1832, t. II, p. 177-238.

Gosselin III
Le Chef-d’œuvre inconnu, dans Romans et contes philosophiques, 4e éd., Paris, Gosselin, février 1833, t. IV, p. 177-238.

Delloye et Lecou
Le Chef-d’œuvre inconnu, dans Études philosophiques, Paris, Delloye et Lecou, 1837, t. XVII, p. 145-237.

Furne
Le Chef-d’œuvre inconnu, dans La Comédie humaine, Paris, Furne, 1846, t. XIV, Études philosophiques, p. 283-307. (Lire)

Furne corrigé
Le Chef-d’œuvre inconnu, dans La Comédie humaine, Études philosophiques. (Lire)

Roux et Cassanet
Gilette, dans Le Provincial à Paris, Paris, Roux et Cassanet, 1847, t. II, p. 81-175.

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